Lundi.

Montardoise – Epinal.
Il fait beau, le vent souffle au cul. C'est une étape de compète pour nous, nous décollons après tout le monde. Il faut suivre un tracé au sol avec points tournants fixes et portes secrètes cachées, le tout en tenant une vitesse moyenne au plus près. Nous prenons 120 km/h pour faciliter les calculs (2 km/mn) et qui prend en compte le vent arrière.
Nous nous en sortons haut la main cette fois-ci, 3e de l'épreuve. Hélas, nous ne remontons guère au classement général, système de notation absurde oblige mais ça fait plaisir quand même. L'avantage de compéter c'est d'arriver après la cohue sur les aérodromes. Nous nous insérons au milieu des pendulaires, à 80 km/h, mais oui le Sky est un vrai ULM.