Heureusement le lendemain, MARDI

Il fait un temps de merde, impossible de partir sur l'Allemagne nous sommes scotchés ici.
Montagnier part à Yutz chez Loravia pour essayer de réparer le moteur mais c'est impossible en moins de 24 heures. La solution, c'est d'acheter un moteur, reconditionné par Loravia, que le Pouchès a en stock et lui laisser le nôtre. Nos 2 Christian passent le reste de la journée à faire ça… Et voilà un moteur neuf sur le Maestro, à prix cassé car Loravia veut éviter notre potentiel courroux anti-publicitaire en plein milieu du Tour ulm.

Le chef compète décide de nous envoyer faire une épreuve, la météo semblant moins mauvaise l'après-midi. Moi je trouve que c'est merdique mais bon. Tant qu'à faire, décollons les premiers. Hélas je nous paume un peu au départ, impossible de retrouver le point d'entrée de l'épreuve. Le temps de retourner au terrain pour recommencer, il se forme des CB partout, nous posons juste avant l'orage.
Le chef décide d'annuler l'épreuve ce qui nous arrange bien. C'était ardu en plus. Il faut écrire ULM en l'air, les lettres font 12 km, c'est le fameux GPS mouchard qui doit montrer la qualité de notre écriture ! en plus il faut écrire ça le plus vite possible !!

Le soir ça swingue pas mal dans la salle, un des participants est imitateur, pas mauvais d'ailleurs, et il nous fait son show. Sa meilleure imitation c'est Nougaro, Serge laisse une petite flaque sur sa chaise…